Histoire de la CGT Nationale
Eclatement de six insurrectins républicaines contre le régime en place (parmis elles la révolte des canuts)
Le travail des enfants est fixé à l'âge minimum de 8ans.
Le travail de nuit et du dimanche est limité.
Limitation de la journée de travail des adultes à 10 heures par jour.
Les journées récolutionnaires de février 1848 permirent provisoirement d'établir le suffrage universel pour les hommes, l'abolition de l'esclavage dans les colonies et la proclamation du droit du travail.
Échec d'un projet de loi autorisant les syndicats ouvriers et la grève.
Limitation de la durée de travail à 8 heures avant 14 ans et 12 heures entre 14 & 16 ans.
Reconnaissance du droit de grève.
Cette période est marquée par de grandes grèves notamment contre les maîtres de forges Eugène Schneider.
Naissance de l'association internationale des travailleurs.
Naissance des assurances contre les accidents du travail.
La naissance de la commune de Paris fait naître un grand espoir mais l'expérience se termine dans le sang avec la mort de 20 000 parisiens.
Le mouvement ouvrier mettra 10 ans pour s'en remettre.
Emploi des enfants et des filles mineurs limité avant 12 ans.
L'ouverture d'une nouvelle période d'avancées sociales (liberté de la presse, liberté de réunion, liberté d'association, développement de l'enseignement primaire, loi Jules Ferry : obligation scolaire jusqu'à 13 ans avec gratuité et laïcité).
Reconnaissance du droit syndical. Le 21 mars, vote de la loi légalisant les syndicats professionnels ouvriers et patronaux à l'initiative de Pierre Waldeck-Rousseau.
La crise économique qui dura 1 ans a été marquée par de nombreuses grèves violentes : grèves des ouvriers du textile, des mineurs de Decazeville et de Carmaux.
Durée maximum du travail fixée à 10 heures à 13 ans et à 60 heures hebdomadaire entre 16 et 18 ans.
Création de la Bourse du travail.
Loi sur les accidents du travail établissant le principe de la responsabilité patronale.
Tentatives pour accorder la personnalité civile aux syndicats.
Repos hebdomadaire fixé à 24 heures.
Loi permettant aux femmes mariées de disposer librement de leur salaire.
Loi garantissant le versement du salaire à intervalles réguliers et création du congé maternité.
Loi garantissant l'emploi des femmes enceintes.
Durée maximum du travail fixée à 10 heures quotidienne pour tous.
Âge de la retraite fixé à 65 ans (avant les ouvriers travaillaient jusqu'à la fin de leur vie).
Loi instituant le Code du travail.
Après la grève générale du 1er 1919, la semaine de travail est fixée à 48 heures et la journée à 8 heures.
Mise en place d'une Assurance Maladie.
Congé maternité fixé à 2 mois avec plein traitement dans la fonction publique.
Une ère nouvelles d'avancées sociales s'ouvre avec le Front populaire et les formidables mouvements de grève avec occupation d'usines.
Le 7 juin 1936, des Accords de Matignon.
Il prévoit des délégués du personnel. La reconnaissance de la liberté syndicale. L'augmentation de salaires de 7 à 15%. La naissance des congés payés fixés à 15 jours.
Le passage de la semaine de travail à 40 heures. La création des convention collectives. La création de la SNCF.
Création de comités sociaux d'établissements. Fixation d'un minimum vieillesse et de la retraite par répartition.
Instauration de la médecine du travail pour les entreprises de plus de 50 salariés.
Ouverture d'une période de réformes des plus importantes de la France contemporaine.
Nationalisation du charbonnage, de l’électricité, du gaz, de 5 grandes banques, création d'Air France, Régie Renault, commissariat à l’énergie atomique).
Création des comités d'entreprise.
Création de la Sécurité Sociale.
Création de la Caisse d'Allocations Familiales.
L'instauration du droit de vote pour les femmes.
Loi sur la protection de l'enfance.
Reconnaissance du droit de grève et du droit du travail dans la constitution.
Droit à la culture, aux loisirs, aux repos.
Droit à l'existence pour raison d'âge, d'état physique, de situation économique.
Organisation de l'enseignement public gratuit et laïque à tous les degrés.
Création du SMIG : Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti.
La France est en grève et les usines sont occupées : entre mai et juin 1968, on dénombre 10 millions de grévistes.
Ces soulèvements débouchent sur les accords de Grenelle.
Ils accordent une augmentation de 35% du SMIG fixé à 600F/mois (95€ actuels), 10% d'augmentation de salaire, la réduction du temps de travail...
La reconnaissance de la section syndicale d'entreprise.
La 4è semaine de congés payés.
Les étrangers peuvent être désignés comme délégués syndicaux.
Mise en place d'une assurance vieillesse.
Légalisation de l'avortement.
Institution du divorce par consentement mutuel, l'adultère n'est plus un délit.
Fixation de la durée hebdomadaire du travail à 39 heures.
Obtention de la 5è semaine de congés payés.
Régularisation de 13000 immigrés.
Nationalisation de 5 groupes industriels : 2 compagnies financières et 36 banques.
Remboursement de l'IVG.
Dépénalisation de l'homosexualité.
Établissement de la convention internationale des droits de l'enfant.
Création de radios locales libres.
Fixation de la retraite à 60 ans.
Loi Auroux sur le droit des travailleurs.
Abolition de la peine de mort.
Fixation de la semaine de travail à 35 heures.
Autorisation de la pilule abortive.
Autorisation des publicités pour les préservatifs.
Ouverture d'une période de régression sociale et de remise en cause des acquis sociaux du Front populaire et du Conseil National de la Résistance.
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